wereniki Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 15, 2012 Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 15, 2012 Από Βασίλη Μεταλληνό με τίτλο: "Σύνοδος Αφροδίτης, Δία - Παλαιό Φρούριο Κέρκυρας"!!! Κι εγώ σκέφτομαι, ...χίλιες και μία νύχτες... Το σύμπαν της τέχνης & οι τέχνες τ’ ουρανού
wereniki Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 15, 2012 Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 15, 2012 Από giannis60 με τίτλο: "μοναχικά δέντρα"! Διαβάστε και την περιγραφή του ίδιου:Σφιχταγκαλιασμένη,τώρα αγωνιά για τ΄αστέρια. Για τον Ωρίωνα, για την σκύλα του την Λαίλαπα που έχει για χάντρα στο περιλαίμιο της τον Σείριο. Δώρο του αφέντη τηςΜε το απόκοσμο φως της πυρκαγιάς, εισβάλουν τα φώτα στον κόσμο τούτης της αγέλης. Απειλούν, κι ολοφάνερα το μπορούν, να σβήσουνε τ΄αστέρια. Αν τα φώτα σβήσουνε τ΄αστέρια, θα σβήσουν από τον ουρανό και οι γραμμές που τα ενώνουν.Σβήσανεαπό τον ουρανό οι γραμμές που ενώνουμε τ΄αστέρια? Ξεχνάνε οιάνθρωποι. Και ξεχνάνε ίσα ίσα αυτά και μόνο αυτά που μας έφεραν μέχρι εδώ. Μα σε τούτο το ακρωτήριο, σε τούτο το ύστατο κομματάκι της Αττικής Γης, το Σούνιο,εκτός από μερικές συστάδες πεύκων που γλύτωσαν από τύχη, υπάρχουν και πέτρες που ονειρεύονταικάτω από τα αστέρια.Χιλιάδες χρόνια τώρα.Έτσι μόνο και μόνογιατί κάποια εφήμερα και θνητά πλάσματα σαν εμάς,τις έβαλαντην μια πάνω στην άλλη.Ο Ναός του Ποσειδώνα. Τις τοποθέτησαν κοντά στην θάλασσα. Μια θάλασσα που τις Νύχτες φαντάζει μεγάλη σαν τον ουρανό με τ΄άστρα. Το Αιγαίο. Σιμά σ΄αυτές τις πέτρες και πάνω σ΄αυτήν την απέραντη υδάτινη επιφάνεια,αντανακλούσε το φως του καλοκαιρινού γαλαξία. Το ξέρω,κανείς δεν το πιστεύει ετούτο τώρα πια. Όμως εγώ που απόκάποια εύνοια ή παραξενιά της τύχης, έμελε να γίνω νυχτόβιοστοιχειό τούτου του τόπου,σας λέω, ότι αυτό μόλις λίγα χρόνιαπριν ήταν αλήθεια υλική και στέρεα. Σαν το άρωμα από το θυμαράκι τούτης της άνυδρης Γης, που ακόμα και τώρα, άθελά σας μέσα στην Νύχτα, το πατήσατε και εκείνο μοσχοβόλησε. Το σύμπαν της τέχνης & οι τέχνες τ’ ουρανού
wereniki Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 16, 2012 Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 16, 2012 “Το ελάχιστο μέτρο να σε ψάχνω - όχι να σε βρω μέχρι τη φλέβα του σύμπαντος να φράξουνε τα διάκενα των άστρων..” Έκτωρ Κακναβάτος Το σύμπαν της τέχνης & οι τέχνες τ’ ουρανού
kkokkolis Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Συγγραφέας Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Evolution on Mars,Hugo Gernsback, Science and Invention, 1924 Οὖτιν με κικλήσκουσι My Optics
kkokkolis Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Συγγραφέας Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Bright Planets at McMath-Pierce Solar Telescope, Mike Line (Caltech), Ed Mierkiewicz (Univ. Wisconsin-Madison), Ron Oliversen (NASA-GSFC), 2012 APOD 16/03/12 Οὖτιν με κικλήσκουσι My Optics
kkokkolis Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Συγγραφέας Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Flash Gordon, Alex Raymond, 1934 Οὖτιν με κικλήσκουσι My Optics
kkokkolis Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Συγγραφέας Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 L'infini dans les cieux, Alphonse de Lamartine, 1790-1869 C'est une nuit d'été ; nuit dont les vastes ailesFont jaillir dans l'azur des milliers d'étincelles ;Qui, ravivant le ciel comme un miroir terni,Permet à l'oeil charmé d'en sonder l'infini ;Nuit où le firmament, dépouillé de nuages,De ce livre de feu rouvre toutes les pages !Sur le dernier sommet des monts, d'où le regardDans un trouble horizon se répand au hasard,Je m'assieds en silence, et laisse ma penséeFlotter comme une mer où la lune est bercée.L'harmonieux Ether, dans ses vagues d'azur,Enveloppe les monts d'un fluide plus pur ;Leurs contours qu'il éteint, leurs cimes qu'il efface,Semblent nager dans l'air et trembler dans l'espace,Comme on voit jusqu'au fond d'une mer en reposL'ombre de son rivage, onduler sous les flots !Sous ce jour sans rayon, plus serein qu'une aurore,A l'oeil contemplatif la terre semble éclore ;Elle déroule au loin ses horizons diversOù se joua la main qui sculpta l'univers !Là, semblable à la vague, une colline ondule,Là, le coteau poursuit le coteau qui recule,Et le vallon, voilé de verdoyants rideaux,Se creuse comme un lit pour l'ombre et pour les eaux ;Ici s'étend la plaine, où, comme sur la grève,La vague des épis s'abaisse et se relève ;Là, pareil au serpent dont les noeuds sont rompus,Le fleuve, renouant ses flots interrompus,Trace à son cours d'argent des méandres sans nombre,Se perd sous la colline et reparaît dans l'ombre :Comme un nuage noir, les profondes forêtsD'une tâche grisâtre ombragent les guérets,Et plus loin, où la plage en croissant se reploie,Où le regard confus dans les vapeurs se noie,Un golfe de la mer, d'îles entrecoupé,Des blancs reflets du ciel par la lune frappé,Comme un vaste miroir, brisé sur la poussière,Réfléchit dans l'obscur des fragments de lumière.Que le séjour de l'homme est divin, quand la nuitDe la vie orageuse étouffe ainsi le bruit !Ce sommeil qui d'en haut tombe avec la roséeEt ralentit le cours de la vie épuisée,Semble planer aussi sur tous les éléments,Et de tout ce qui vit calmer les battements ;Lin silence pieux s'étend sur la nature,Le fleuve a son éclat, mais n'a plus son murmure,Les chemins sont déserts, les chaumières sans voix,Nulle feuille ne tremble à la voûte des bois,Et la mer elle-même, expirant sur sa rive,Roule à peine à la plage une lame plaintive ;On dirait, en voyant ce monde sans échos,Où l'oreille jouit d'un magique repos,Où tout est majesté, crépuscule, silence,Et dont le regard seul atteste l'existence,Que l'on contemple en songe, à travers le passé,Le fantôme d'un monde où la vie a cessé !Seulement, dans les troncs des pins aux larges cimes,Dont les groupes épars croissent sur ces abîmes,L'haleine de la nuit, qui se brise parfois,Répand de loin en loin d'harmonieuses voix,Comme pour attester, dans leur cime sonore,Que ce monde, assoupi, palpite et vit encore.Un monde est assoupi sous la voûte des cieux ?Mais dans la voûte même où s'élèvent mes yeux,Que de mondes nouveaux, que de soleils sans nombre,Trahis par leur splendeur, étincellent dans l'ombre !Les signes épuisés s'usent à les compter,Et l'âme infatigable est lasse d'y monter !Les siècles, accusant leur alphabet stérile,De ces astres sans fin n'ont nommé qu'un sur mille ;Que dis-je! Aux bords des cieux, ils n'ont vu qu'ondoyerLes mourantes lueurs de ce lointain foyer ;Là l'antique Orion des nuits perçant les voilesDont Job a le premier nommé les sept étoiles ;Le navire fendant l'éther silencieux,Le bouvier dont le char se traîne dans les cieux,La lyre aux cordes d'or, le cygne aux blanches ailes,Le coursier qui du ciel tire des étincelles,La balance inclinant son bassin incertain,Les blonds cheveux livrés au souffle du matin,Le bélier, le taureau, l'aigle, le sagittaire,Tout ce que les pasteurs contemplaient sur la terre,Tout ce que les héros voulaient éterniser,Tout ce que les amants ont pu diviniser,Transporté dans le ciel par de touchants emblèmes,N'a pu donner des noms à ces brillants systèmes.Les cieux pour les mortels sont un livre entrouvert,Ligne à ligne à leurs yeux par la nature offert ;Chaque siècle avec peine en déchiffre une page,Et dit : Ici finit ce magnifique ouvrage :Mais sans cesse le doigt du céleste écrivainTourne un feuillet de plus de ce livre divin,Et l'oeil voit, ébloui par ces brillants mystères,Etinceler sans fin de plus beaux caractères !Que dis-je ? À chaque veille, un sage audacieuxDans l'espace sans bords s'ouvre de nouveaux cieux ;Depuis que le cristal qui rapproche les mondesPerce du vaste Ether les distances profondes,Et porte le regard dans l'infini perdu,Jusqu'où l'oeil du calcul recule confondu,Les cieux se sont ouverts comme une voûte sombreQui laisse en se brisant évanouir son ombre ;Ses feux multipliés plus que l'atome errantQu'éclaire du soleil un rayon transparent,Séparés ou groupés, par couches, par étages,En vagues, en écume, ont inondé ses plages,Si nombreux, si pressés, que notre oeil ébloui,Qui poursuit dans l'espace un astre évanoui,Voit cent fois dans le champ qu'embrasse sa paupièreDes mondes circuler en torrents de poussière !Plus loin sont ces lueurs que prirent nos aïeuxPour les gouttes du lait qui nourrissait les dieux ;Ils ne se trompaient pas : ces perles de lumière,Qui de la nuit lointaine ont blanchi la carrière,Sont des astres futurs, des germes enflammésQue la main toujours pleine a pour les temps semés,Et que l'esprit de Dieu, sous ses ailes fécondes,De son ombre de feu couve au berceau des mondes.C'est de là que, prenant leur vol au jour écrit,Comme un aiglon nouveau qui s'échappe du nid,Ils commencent sans guide et décrivent sans traceL'ellipse radieuse au milieu de l'espace,Et vont, brisant du choc un astre à son déclin,Renouveler des cieux toujours à leur matin.Et l'homme cependant, cet insecte invisible,Rampant dans les sillons d'un globe imperceptible,Mesure de ces feux les grandeurs et les poids,Leur assigne leur place et leur route et leurs lois,Comme si, dans ses mains que le compas accable,Il roulait ces soleils comme des grains de sable !Chaque atome de feu que dans l'immense étherDans l'abîme des nuits l'oeil distrait voit flotter,Chaque étincelle errante aux bords de l'empyrée,Dont scintille en mourant la lueur azurée,Chaque tache de lait qui blanchit l'horizon,Chaque teinte du ciel qui n'a pas même un nom,Sont autant de soleils, rois d'autant de systèmes,Qui, de seconds soleils se couronnant eux-mêmes,Guident, en gravitant dans ces immensités,Cent planètes brûlant de leurs feux empruntés,Et tiennent dans l'éther chacune autant de placeQue le soleil de l'homme en tournant en embrasse,Lui, sa lune et sa terre, et l'astre du matin,Et Saturne obscurci de son anneau lointain !Oh ! que tes cieux sont grands! et que l'esprit de l'hommePlie et tombe de haut, mon Dieu! quand il te nomme !Quand, descendant du dôme où s'égaraient. ses yeux,Atome, il se mesure à l'infini des cieux,Et que, de ta grandeur soupçonnant le prodige,Son regard s'éblouit, et qu'il se dit : Que suis-je ?Oh ! que suis-je, Seigneur ! devant les cieux et toi ?De ton immensité le poids pèse sur moi,Il m'égale au néant, il m'efface, il m'accable,Et je m'estime moins qu'un de ces grains de sable,Car ce sable roulé par les flots inconstants,S'il a moins d'étendue, hélas ! a plus de temps ;Il remplira toujours son vide dans l'espaceLorsque je n'aurai plus ni nom, ni temps, ni place ;Son sort est devant toi moins triste que le mien,L'insensible néant ne sent pas qu'il n'est rien Il ne se ronge pas pour agrandir son être,Il ne veut ni monter, ni juger, ni connaître,D'un immense désir il n'est point agité ;Mort, il ne rêve pas une immortalité !Il n'a pas cette horreur de mon âme oppressée,Car il ne porte pas le poids de ta pensée !Hélas ! pourquoi si haut mes yeux ont-ils monté ?J'étais heureux en bas dans mon obscurité,Mon coin dans l'étendue et mon éclair de vieMe paraissaient un sort presque digne d'envie ;Je regardais d'en haut cette herbe; en comparant,Je méprisais l'insecte et je me trouvais grand ;Et maintenant, noyé dans l'abîme de l'être,Je doute qu'un regard du Dieu qui nous fit naîtrePuisse me démêler d'avec lui, vil, rampant,Si bas, si loin de lui, si voisin du néant !Et je me laisse aller à ma douleur profonde,Comme une pierre au fond des abîmes de l'onde ;Et mon propre regard, comme honteux de soi,Avec un vil dédain se détourne de moi,Et je dis en moi-même à mon âme qui doute :Va, ton sort ne vaut pas le coup d'oeil qu'il te coûte !Et mes yeux desséchés retombent ici-bas,Et je vois le gazon qui fleurit sous mes pas,Et j'entends bourdonner sous l'herbe que je fouleCes flots d'êtres vivants que chaque sillon roule :Atomes animés par le souffle divin,Chaque rayon du jour en élève sans fin,La minute suffit pour compléter leur être,Leurs tourbillons flottants retombent pour renaître,Le sable en est vivant, l'éther en est semé,Et l'air que je respire est lui-même animé ;Et d'où vient cette vie, et d'où peut-elle éclore,Si ce n'est du regard où s'allume l'aurore ?Qui ferait germer l'herbe et fleurir le gazon,Si ce regard divin n'y portait son rayon ?Cet œil s'abaisse donc sur toute la nature,Il n'a donc ni mépris, ni faveur, ni mesure,Et devant l'infini pour qui tout est pareil,Il est donc aussi grand d'être homme que soleil !Et je sens ce rayon m'échauffer de sa flamme,Et mon coeur se console, et je dis à mon âme :Homme ou monde à ses pieds, tout est indifférent,Mais réjouissons-nous, car notre maître est grand !Flottez, soleils des nuits, illuminez les sphères ;Bourdonnez sous votre herbe, insectes éphémères ;Rendons gloire là-haut, et dans nos profondeurs,Vous par votre néant, et vous par vos grandeurs,Et toi par ta pensée, homme ! grandeur suprême,Miroir qu'il a créé pour s'admirer lui-même,Echo que dans son oeuvre il a si loin jeté,Afin que son saint nom fût partout répété.Que cette humilité qui devant lui m'abaisseSoit un sublime hommage, et non une tristesse ;Et que sa volonté, trop haute pour nos yeux,Soit faite sur la terre, ainsi que dans les cieux ! Οὖτιν με κικλήσκουσι My Optics
kkokkolis Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Συγγραφέας Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Cybernetics, Boris Artzybasheff, 1952 Ο μεγάλος Λευκορώσος καλλιτέχνης Boris Artzybasheff, γνωστός κυρίως από τα εκατοντάδες εξώφυλλα στα περιοδικά Time, Life, Fortune, προσέδιδε συχνά έναν φουτουριστικό (και σουρεαλιστικό) χαρακτήρα στις απεικονίσεις του, αναπαριστώντας σχεδόν σταθερά το "φάντασμα στην μηχανή" Οὖτιν με κικλήσκουσι My Optics
kkokkolis Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Συγγραφέας Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Aliens, Boris Artzybasheff, 1954 Οὖτιν με κικλήσκουσι My Optics
kkokkolis Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Συγγραφέας Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Robot Explorers, Boris Artzybasheff, 1952 Οὖτιν με κικλήσκουσι My Optics
kkokkolis Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Συγγραφέας Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Space Pioneer, Boris Artzybasheff, 1952 Οὖτιν με κικλήσκουσι My Optics
kkokkolis Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Συγγραφέας Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Rush Hour in Space, Boris Artzybasheff, 1960 Οὖτιν με κικλήσκουσι My Optics
kkokkolis Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Συγγραφέας Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Reaching for the Moon, Boris Artzybasheff, 1962 Οὖτιν με κικλήσκουσι My Optics
kkokkolis Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Συγγραφέας Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Lunar Myth and Fantasy, Boris Artzybasheff, 1958 Οὖτιν με κικλήσκουσι My Optics
kkokkolis Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Συγγραφέας Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Computers in Society, Boris Artzybasheff, 1965 Απεικόνισε και άλλα πράγματα που ενδιαφέρουν τους φίλους της ερασιτεχνικής αστρονομίας, όπως τους υπολογιστές... Οὖτιν με κικλήσκουσι My Optics
kkokkolis Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Συγγραφέας Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 New Products, Boris Artzybasheff, 1960 ... τεχνολογικά προϊόντα.... Οὖτιν με κικλήσκουσι My Optics
kkokkolis Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Συγγραφέας Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Amateur Photographers, Boris Artzybasheff, 1953 ... φωτογραφικές μηχανές... Οὖτιν με κικλήσκουσι My Optics
kkokkolis Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Συγγραφέας Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Anxiety, Boris Artzybasheff ... ενώ ενδιαφέρον παρουσιάζουν οι απεικονίσεις ψυχολογικών θεμάτων... Οὖτιν με κικλήσκουσι My Optics
kkokkolis Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Συγγραφέας Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Frustration, Boris Artzybasheff ... όπου οι όροι αντιστρέφονται... Οὖτιν με κικλήσκουσι My Optics
kkokkolis Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Συγγραφέας Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Indecision, Boris Artzybasheff ... και ο άνθρωπος λειτουργεί ως μηχανή... Οὖτιν με κικλήσκουσι My Optics
kkokkolis Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Συγγραφέας Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Infantilism, Boris Artzybasheff ... η μηχανή μέσα στο φάντασμα... Οὖτιν με κικλήσκουσι My Optics
kkokkolis Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Συγγραφέας Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Repressed Hostility, Boris Artzybasheff ... το περίθεμα του forum... Οὖτιν με κικλήσκουσι My Optics
kkokkolis Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Συγγραφέας Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Timidity, Boris Artzybasheff ... οι αλυσίδες που μας καθηλώνουν... Οὖτιν με κικλήσκουσι My Optics
kkokkolis Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Συγγραφέας Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Addiction, , Boris Artzybasheff ... και μας εμποδίζουν... Οὖτιν με κικλήσκουσι My Optics
kkokkolis Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Συγγραφέας Δημοσιεύτηκε Μάρτιος 17, 2012 Hypochondria, , Boris Artzybasheff ... να αγγίξουμε πραγματικά... Οὖτιν με κικλήσκουσι My Optics
Προτεινόμενες αναρτήσεις